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Tu as peut-être vu passer la news : les investissements dans le marketing d'influence au niveau mondial vont atteindre 33 milliards de $ en 2025.

Pourquoi est-ce que c'est marquant ? Déjà, parce que c'est un solide x20 en 10 ans (+36% rien que par rapport à 2024).

Mais surtout : c'est la première fois de l'histoire que le marketing d'influence dépasse les investissements dans la publicité traditionnelle.

Et pourtant, je suis convaincu que nous n'en sommes qu'au début (d'ailleurs, les études sur le sujet projettent un x2 d'ici 2030, soit +60 milliards). Et si tu es ici, tu fais partie comme moi des early sur ce marché, qui sont bien positionnés pour surfer la vague qui arrive.

Pourquoi c'est exceptionnel

Certes, l'intérêt est évident lorsqu'on est créateur de contenu : un budget marketing d'influence en hausse, c'est un gâteau plus gros à se partager chaque année sur les opérations sponsorisées. Cool.

Mais la vraie raison qui fait que nous sommes peut-être sur le meilleur marché de la décennie, c'est que comme dans toutes les autres industries d'audience : le financement par la publicité est le nerf de la guerre.

C'est ce qui va permettre à de nouveaux créateurs de se lancer plus facilement, et aux créateurs actuels de mieux vivre et surtout d'augmenter leur pouvoir d'achat professionnel.

On sort officiellement de la précarité des créateurs : aujourd'hui, si tu réunis une audience de ne serait-ce quelques dizaines de milliers de personnes, tu peux imprimer du cash.

Tout s'accélère : les créateurs ont désormais des moyens et des réflexes qui restaient impensables il y a 10 ans : augmenter leurs budgets de production, acheter des locaux et du matériel de pointe, ou encore recruter en nombre et rapidement les meilleurs talents.

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Au bon endroit, au bon moment

Tout ça va ne faire que s'améliorer. Que l'on soit créateur de contenu, freelance ou entrepreneur dans la Creator Economy, il n'y a jamais eu de meilleure fenêtre pour bombarder.

Quand j'ai créé ma première boite OKA Media en 2018 avant de la céder en 2022 (et malgré le succès de cette aventure), je pense qu'il était encore trop tôt.
L'idée et le service étaient parfaits, mais le pouvoir d'achat professionnel des créateurs était très faible (ceux qui ne pouvaient pas se payer nos services en étaient les premiers frustrés d'ailleurs).
Bref, c'était la galère.

Depuis, toutes les agences, freelances et autres fournisseurs pour créateurs ont fait x3 sur leur prix.

La raison est évidente quand on voit le graphique partagé plus haut : la théorie du ruissellement s'applique bel et bien dans la Creator Economy (du moins pour le moment).

Et là où on a de la chance, c'est qu'on est sur un marché porteur à la croissance stable. À la différence du web3 par exemple, dont même les plus early doivent continuellement serrer les fesses pour ne pas tout perdre au prochain bear market.

Pendant 20 ans au moins, il va continuer d'y avoir plus de jeunes, plus de vues, et plus d'usage de toutes les plateformes utilisées par les créateurs.

Et donc, plus de revenus pour eux et leur écosystème.

C'est le moment pour toi de construire quelque chose de grand.

On refait le point en 2045 :)

À la semaine prochaine,

Adham

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